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RDC/Malgré la dissolution « FCC-CACH » : le régime Tshisekedi peine à améliorer la situation socioéconomique !

Trois ans plus tard, cette alternance au sommet du pouvoir n’a pas réussi à améliorer les conditions socioéconomiques des Congolais. L’on assiste à une série de détournements que caractérise l’actuel régime en dépit du travail qu’abat l’Inspection générale des finances (IGF).

Cela fait pratiquement trois ans déjà que Félix Tshisekedi a accédé à la magistrature suprême à la suite de l’élection présidentielle de 2018. Mais, les conditions sociales des Congolais ne fait qu’empirer. La plupart de projets du gouvernement ont fait l’objet du scandale. Conséquence : la population dans l’impasse, et se voue à tous les saints.

Depuis un an, Félix Tshisekedi est donc seul à la manœuvre, il ne peut plus rejeter les errances de la politique nationale sur les épaules d‘encombrants alliés. Il dispose d’une large majorité parlementaire (suite au ralliement de près de 300 élus sur les 500 que compte l’Assemblée nationale et sans repasser par les urnes), de la présidence du Sénat et de l’Assemblée nationale et d’un gouvernement national taillable et corvéable à merci.

       Bilan négatif !

Aucun plan concret n’a permis jusqu’ici un quelconque sursaut de l’économie congolaise, toujours largement dépendante des investissements étrangers (qui ne sont pas légion) dans le secteur d’extraction des matières premières sans que cela ait le moindre impact sur le quotidien des Congolais.

Face à ce bilan, Félix Tshisekedi a tenu imposer un nouveau bureau à la CENI, laquelle va lui permettre de briguer lors des élections de fin 2023. Des chiffres et un constat qui n’effraient nullement Félix Tshisekedi qui, à la fin de ce mois de janvier, termine tant bien que mal son année de présidence à la tête de l’Union africaine sur un bilan aussi famélique.

Le président et ses délégations aussi pléthoriques qu’onéreuses (voir ci-contre) devraient donc continuer à parcourir le monde, à loger dans les plus grands hôtels… pour le bien du peuple congolais. Mais pas le moindre chiffre, pas la moindre estimation dans ce discours des retombées chiffrées de ces voyages. Il faut se plonger dans le rapport des Nations unies sur l’attractivité des investissements dans le monde publié en 2021 pour découvrir que la RDC a attiré 1,6 milliard d’investissements étrangers en 2020, peu liés aux voyages présidentiels.

Nbsinfos.com

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