Professeur et auteur de plusieurs ouvrages scientifiques dont l’Enfer, c’est lui et Génocide économique, Jo M. Sekimonyo, promet de poursuivre sa lutte où tout est centré sur l’idéologie, laquelle va refonder et développer une nation en dépit de sa candidature invalidée par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) et la Cour constitutionnelle.
Il déplore le silence de l’appareil judiciaire de la République démocratique du Congo qui n’a pas pu jouer correctement son rôle pour le rétablir dans ses droits. » Irrecevable, cela veut dire que la Cour ne s’est pas prononcée sur mon cas. Les juges n’ont pas voulu penser à percer le fond du débat pour connaître la pertinence du problème. Cette question, nous avons commencé à la Cour constitutionnelle qui n’a pas répondu, et on est allé au Conseil d’État afin de corriger des erreurs matérielles, lui aussi n’a jamais répondu. Ce qui est surprenant ! On retourne à la grande juridiction qui est la Cour constitutionnelle, elle refuse de se prononcer « , regrette-t-il.
Dans cet ordre d’idée, il promet de ne pas abandonner son combat celui de la suppression de la caution à payer pour déposer la candidature à tous les niveaux. » Ce n’est pas la fin du monde, car on a fait ce qu’on pouvait faire. Et, 2028 ce n’est pas moins que cela. Il y a la vie même avant et après la présidence. Toutefois, nous allons continuer à contribuer à cette nation pour le développement. Il faut aussi comprendre que ma candidature était idéologique où tout est basé sur la politique économique où l’accent est mis sur la lutte contre le chômage dont le taux n’est pas connu, la prise en compte du SMIG, l’augmentation des salaires et la retraite pour les travailleurs « , a-t-il enchaîné.
Pour rappel, Jo M. Sekimonyo est un intellectuel congolais dont son combat politique répose sur la refondation d’un État sur la base de la prise en compte de la Politique économique.
Nbsinfos.com
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