La République démocratique du Congo figure parmi les pays où la corruption est monnaie courante. En dépit des efforts engagés par la Société civile pour la sensibilisation de la population à renoncer à cette pratique, l’on constate que la courbe demeure ascendante. Quelqu’un croit qu’on peut réduire le taux de corruption.
Interrogé à ce sujet, un jeune évoluant au sein des ONGs, Joël Mfi Mwakiele, affirme que l’on ne peut pas parler de l’éradication de la corruption sans renforcer la justice, laquelle paraît l’un des leviers qui va aboutir à l’émergence. »La justice doit être très efficace pour enrayer ce fléau. Sinon l’émergence ne sera qu’un simple slogan. La lutte contre la corruption doit donc aller de pair avec le renforcement de l’état de droit et de la bonne voie gouvernance ainsi qu’avec l’établissement d’institutions solides qui, à leur tour, sont la base du développement humain », a-t-il argué.
La corruption engendre, apprend-t-on, de grandes disparités économique, favorise la mauvaise gouvernance. Par conséquent, ce jeune leader appelle le chef de l’État Félix-Antoine Tshisekedi à renforcer les instruments juridiques en vue d’enrayer le fléau ( corruption).
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