« Dès mon accession à la magistrature suprême, j’ai entrepris des actions, des réformes politiques et économiques profondes. Je me suis farouchement opposé à velléité de perpétuer le règne des antivaleurs fondées sur la prédation et des violations de droits humains. Ce qui a conduit aux ajustements institutionnels de décembre 2021 et premier trimestre 2021 à la grande satisfaction de nos compatriotes qui n’ont jamais cessé de réclamer le changement radical de la gouvernance », a-t-il déclaré.
Sur le plan économique, le successeur de Joseph Kabila a essayé d’énumérer quelques actions, lesquelles lui ont permis de se vanter. « La RDC est entrée en programme avec le Fonds monétaire international au mois de juin dernier. Et, elle bénéficie de l’assistance de la Banque Mondiale afin de réaliser les grands projets sociaux et des infrastructures de base. A la faveur de la mise en œuvre des réformes courageuse, la croissance économique s’est accélérée pour dépasser le 5 % l’an (…). L’inflation s’est décélérée et le Franc congolais s’est stabilisé sur le marché de change. Puisque l’amélioration des recettes internes est l’une de nos priorités, le gouvernement de la RDC conduit, depuis mon avènement à la tête du pays, une politique rigoureuse de lutte contre la corruption, le détournement des deniers publics et l’impunité », a-t-il dit.
Ils’est dit fier des recettes mobilisées par son gouvernement. « Des résultats sont déjà perceptibles avec l’augmentation substantielle des recettes depuis le second trimestre de cette année », s’est-il félicité.
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