Les chefs de différents regroupements politiques membres de l’Union sacrée de la nation (USN) ne veulent pas lâcher l’affaire. Dérogeant à la règle établie par la nouvelle Première ministre Judith Suminwa pour la formation du gouvernement. De ce fait, ils vont jusqu’au bout, en proposant leurs noms au président de la République, alors que cette pratique a été déjà mise de côté.
La cheffe du gouvernement, Judith Suminwa, a déjà remis au président Tshisekedi sa mouture accompagnée d’annotations. Bien que chaque poste ministériel contienne trois proposés, les « autorités morales », c’est-à-dire les chefs de regroupements politiques, ont également manifesté leur désir d’intégrer ou de réintégrer le nouveau cabinet. En revanche, le choix final des ministres revient à Félix-Antoine Tshisekedi, le garant de la nation.
Népotisme à gestation?
Face à cela, il revient au président d’user de son pourvoir pour arbitrer. Selon certaines indiscrétions, certains chefs des regroupements ont proposé les noms de leurs fils ou filles pour occuper les postes ministériels.
Lors de la réunion présidée par le chef de l’Etat Félix-Tshisekedi autour des responsables des partis de l’Union sacrée de la nation ( USN), l’accent est mis sur le népotisme qui s’installe au sommet de l’Etat. Le président avait émis un avis contraire pour décourager quiconque va s’enliser dans cette pratique, laquelle ne développe pas le pays.
En ce qui concerne la formation du gouvernement, le président de la République va lui-même trancher.
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