Les déclarations de l’Inspecteur général des finances, chef de service, Jules Alingete, lors d’une sortie médiatique, le mercredi 15 février dernier à Kinshasa en RDC, ont causé du dégât quant au climat des affaires, s’agissant de la mise en œuvre de la convention de collaboration signée en avril 2008, entre le gouvernement congolais et le groupement des entreprises chinoises.
Selon lui, il y a « magouille, exonérations exorbitantes, irrégularités et non-paiement des impôts dus à l’Etat, de la part des entreprises chinoises, dans l’exécution de cette convention de collaboration. Ce que l’Inspecteur général des finances n’a pas réalisé à travers cette sortie médiatique, c’est qu’il vient d’énerver le climat des affaires. L’IGF a déclaré la guerre à la Sicomines. L’Inspecteur des finances se bat pour faire gober aux congolais les contre-vérités selon lesquelles le groupement des entreprises chinoises ne réalisent pas le volet infrastructure de la convention de collaboration.
Tenez ! En 2022, l’Inspecteur général des finances, décidé à mettre en difficulté la Sicomines, a demandé à cette dernière de lui présenter tous les documents de ses activités, depuis sa création en 2008 jusqu’à ces jours, en lui enjoignant de s’exécuter dans un délai court. Une demande embarrassante, juste pour créer un prétexte, en vue d’une action rétrograde par rapport à l’amélioration du climat des affaires en RDC.
Qu’à cela ne tienne, la Sicomines a mis à sa disposition 80% des documents, ce qui était lui loin de satisfaire l’Inspecteur général des finances, chef de service, qui lui attendait les 100% des documents.
En décembre 2022, l’IGF a publié un rapport sans fondement, pour cracher sur les projets minier et infrastructures de la Sicomines, qui selon lui, ne bénéficiaient pas à la population congolaise, ce qui est loin de la vérité.
Pourtant, depuis sa création en 2008, la Sicomines a créé au moins 10 000 emplois directs et indirects. Avant même la production minière, la Sicomines a investi environ 500 000 000 USD dans le projet d’infrastructures en supportant des grands risques. C’était une réponse réelle au souhait tant caressé par le Gouvernement congolais. Aussi, tous les congolais savent qu’en 2006 et 2007, le secteur minier n’était pas florissant.
Nbsinfos.com/SE
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