Depuis quelques jours, le directeur général de la Caisse nationale de sécurité sociale des agents publics (CNSSAP), Junior Mata, est victime des campagnes de diabolisation médiatiques. Il s’agit d’une personne malveillante faisant le chantage de toutes sortes, annonçant un séisme médiatique de grande envergure dont l’onde de choc vise à emporter à coup sûr le leadership avant-gardiste de cet établissement de l’État.
Malheureusement, le plan machiavélique est déjoué, du fait qu’il est conçu par des apprentis sorciers très peu inspirés. De par sa forme tout comme dans son fond, cette campagne de diabolisation mal assortie éveille aussitôt le soupçon quant à son intention pernicieuse de vouer aux gémonies une coqueluche de l’UDPS à l’avenir prometteur.
Mise en scène grotesque
C’est dans une lettre anonyme, dégoulinant de haine et de jalousie mal placée contre le DG de la CNSSAP, que certains esprits tordus ont dissimulé leur volée de bois vert, alors que le weekend dernier, Junior Mata a bénéficié des éloges de la part du vice-Premier, ministre de la Fonction publique, Jean-Pierre Lihau en raison de bons résultats enregistrés en 2023.
En 2023, les apôtres de la contrefaçon se sont engagés à distribuer des tracts aux tabloïds de la place signés parti imaginaire cadre de l’UDPS pour salir la réputation du directeur général. Toutefois, ce plan est déjoué.
C’est une méthode du PPRD parti cher de l’ex-président de la République Joseph Kabila, bien connue de » Ote toi de là que je m’y mette ». Ce sont des personnes qui ont fait toutes leurs classes dans les parvis des dictatures qui persécutaient à longueur des journées les ouailles du Docteur Étienne TSHISEKEDI d’heureuse mémoire, pendant les annnées difficiles de lutte pacifique pour la conquête du pouvoir. L’On reconnaît facilement ces assoiffés du pouvoir par leur hargne à combattre les vrais fils et filles de l’UDPS qui se distinguent dans leur assiduité aux côtés de leur mentor le président de la République, Félix-Antoine Antoine Tshisekedi.
Junior Mata est formaté à l’UDPS ne pouvait qu’être la cible des esprits tordus qui pensent pouvoir faire oublier leur passé politique en affichant un militantisme factice et tiré par les cheveux au parti présidentiel.
A peine, Junior Mata venait-il d’être placé aux commandes de la CNSSAP que ceux qui se prennent pour des »Stephane Hessel » de la sécurité sociale s’agitaient déjà comme des diables dans un bénitier. C’était sans compter sur les compétences indéniablement satisfaisantes de ce champion de la bonne gouvernance, nourri à la mamelle idéologique du »Peuple d’abord » depuis son enfance au cursus académique et professionnel incontestables.
Des griefs cousus de fil blanc
Ce qui énerve le plus les détracteurs du DG de la CNSSAP, c’est surtout l’application intelligente et sans ménagement des orientations du dynamique et sourcilleux vice-Premier ministre, ministre de la Fonction publique Jean-Pierre Lihau qui a réussi à mettre tout le monde d’accord par rapport à ses impressionnantes capacités managériales que possède Junior Mata.
Dans le logiciel de la CNSSAP, tout a été conçu pour que l’épargne des agents de carrière des services publics de l’État soit à l’abri de la moindre tentative de détournement. Ce n’est donc pas un hasard si cet établissement public évoluant sous la Tutelle du ministère de la Fonction publique, dont les syndicats de l’administration publique siègent par ailleurs au Conseil d’administration, conserve toujours sa certification ISO 9001 sous la dispensation du duo MATA-TUNGILA .
Pour votre gouverne, la gestion de la CNSSAP est soumise à des mécanismes internes et externes de contrôle et d’audit d’une rigueur éprouvée. Au surplus, la CNSSAP se soumet volontiers à plusieurs autres audits externes à une cadence telle qu’il est impossible de faire main basse sur les placements des fonctionnaires de l’État.
À cela s’ajoute la vigilance tous azimuts de l’Inspection Générale des Finances (IGF) sous la férule d’inamovible inspecteur général des Finances, chef de service, Jules Alingeti . Autant de soupapes de sécurité qui consolident la confiance dans le leadership de la CNSSAP dont les voyants demeurent au vert.
Des journalistes menés en bateau
De ce qui précède, c’est à se demander comment des professionnels de médias à la réputation jusque là intangible pouvaient ainsi se laisser aller pour relayer un tract à charge ne portant de surcroît aucune signature ? L’argent dépensé par les tireurs de ficelles y est sans doute pour quelque chose. Mais est-ce pour autant qu’il faille jeter aux orties la déontologie en sacrifiant ainsi l’orthodoxie professionnelle sur l’autel de l’ignominie ? Car il n’est de Toutefois évidence pas dans l’ordre du possible que les médias qui s’emploient à relayer de manière inconsidérée la lettre anonyme sous examen aient perdu de vue que l’UDPS est le parti politique le plus organisé du landerneau politique congolais, qui s’est toujours exprimé à travers ses organes statutaires.
Il n’existe pas à l’UDPS des cadres non autrement identifiés s’exprimant sous le sceau abject de l’anonymat. Il est du reste de notoriété publique que la liberté d’expression fait partie de l’ADN des combattants de l’UDPS qui n’hésitent pas à évoquer y compris les sujets qui fâchent, toujours à visage découvert. Cette méthode sournoise et pleine de lâcheté consistant à casser du sucre sur le dos d’un compatriote par le biais des tracts n’a rien à voir avec les habitudes du parti du docteur Étienne TSHISEKEDI wa Mulumba.
Nbsinfos.com
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