Carlos Fuentes : L’oranger – 2 avril 1997

Cinq récits qui vont des souvenirs et réflexions post mortem de Jerònimo de Aguilar, l’un des protagonistes de la conquête du Mexique, à la pérennité imaginaire de Christophe Colomb, survivant jusqu’à nos jours, en passant par les démêlés des fils d’Herna`n Cortés, le siège de Numance par Scipion l’Africain et les mésaventures d’un acteur américain qui raconte comment il est mort de plaisir en compagnie de sept putains dans le golfe d’Acapulco.

A ces récits, un fil conducteur, un symbole : l’oranger – arbre oriental dont les graines, semées tant en Europe qu’en Amérique, seront principe de fertilité, de métissage et d’essor d’un « Nouveau Monde ».

Fruit rond comme le sein maternel, comme la terre que le navigateur-découvreur rêve de parcourir, comme les « cercles du temps ». Ce temps historique et personnel dont Carlos Fuentes n’aura cessé de dire, à travers toute son oeuvre, la circularité, les rencontres surprenantes, les téléscopages pluridimensionnels.

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