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Comment les coupes guillotines sont devenues à la mode en France

Au plus fort de la Révolution Français, la France avait à peu près perdu la tête. Le « Règne de la Terreur » était aussi terrible qu’il n’y paraît. Des politiciens révolutionnaires montants comme Maximilien Robespierre accusaient tout le monde et leur mère de trahison contre la nouvelle république et quelque 16 500 personnes ont été tuées par guillotine en une seule année. Les accusateurs finiront par devenir les accusés, mettant fin au règne de la terreur avec l’exécution de Robespierre, et Français société commencera à retrouver le chemin de la normalité. En quelque sorte.

L’une des histoires les plus insolites à sortir de la France post-révolutionnaire doit être les bals  des  victimes,ou lescouilles des victimes. Les écrits et les documents de l’époque suggèrent qu’une sous-culture inhabituelle de boules de la société a émergé comme aristocrates orphelins ont commencé à voir le retour de leurs fortunes confisquées. Les rassemblements auraient été organisés par des proches de  victimes de guillotine, et seuls ceux qui avaient perdu un proche parent de la guillotine, ou qui y avaient échappé de justesse, pouvaient être admis à des balles exclusives. L’invitation la plus convoitée à la fin des années 1790 à Paris, en France, est venue avec son propre ensemble de manières et de robe.

Le code vestimentaire de ces événements était également assez radical. Il a été  enregistré que les femmes portaient des chokers rouges autour du cou pour symboliser où la lame aurait coupé la tête de leurs proches de leur corps.

Les femmes ont également commencé à porter des châles rouges sur leurs minces robesde nuit qui  ressemblaient aux chemises des prisonniers. Les châles rouges auraient été inspirés par le châle célèbre porté par Charlotte Corday alors qu’elle montait les marches de la guillotine pour le meurtre du révolutionnaire Jean-Paul Marat alors qu’il était trempé dans le bain.

Les pertes de chevelure causées par le stresse sont également soupçonnées d’avoir contribué à provoquer la tendance pour une nouvelle coiffure plus courte, bien connu sous le nom de coiffure a la victime, ou à la Titus. Il est devenu à la mode chez les jeunes femmes d’opter pour une côtelette drastique, leur barde le cou et imitant les apparences de prisonniers juste avant leur mort. Quand quelqu’un devait être décapité, ses cheveux étaient coupés courts pour que la lame puisse se couper la tête du corps sans interruption.

Si une femme préférait ne pas aller pour la côtelette complète, elle attacherait ses cheveux de l’arrière sur le crâne, pliant le bout de ses cheveux presque sur les yeux.

Loin du ciel élaboré des perruques hautes et des jupes en forme de panier adoptées par Marie Antoinette avant la révolution, la mode post-Révolution a été fortement influencée par le drame qu’elle et ses camarades aristocrates ont enduré. Apportant un nouveau sens au terme, « victime de la mode », la tendance était de s’habiller littéralement comme les victimes de la révolution.

Une sous-culture aristocratique à la mode à Paris connue sous le nom d’Incroyables and les Merveilleuses a commencé à apparaître à des fonctions de la société habillées assez scandaleusement dans des robes gréco-romaines rappelant les sous-vêtements que leurs proches avaient été dépouillés pendant leur emprisonnement.

Talons obtenu la botte et quelques illustrations de l’époque représentent des femmes sortir en public sans chaussures du tout, peut-être faire allusion aux victimes qui sont allés pieds nus à la guillotine. Leur style exagéré était probablement cathartique pour eux, les aidant à renouer avec d’autres survivants du Règne de la Terreur, mais aussi à se séparer des « buveurs de sang » de la révolution.

Abigail Sterling Auteur/Historienne (Traduit en Français par Jay Cliff)

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